J’ai déjà assez de bidules pourtant, mais je n’ai pas résisté devant ce chevalier agenouillé qui tend son épée ! (un stylo en fait, je me suis sentie appelée)
Depuis, je le regarde avec satisfaction sur mon bureau !
J’ai demandé à Chat GPT de me raconter la fin des Templiers, pourquoi la chute d’un ordre si ancien et si puissant, à la façon d’une histoire dans le style de l’époque, c’est plus sympa à lire.
Quelle ne fut pas ma surprise en lisant sa proposition à la fin de son récit : de lui-même, il me propose une version érotique de l’histoire ! Je pensais qu’il était comme FB ou insta, effarouché à la moindre évocation sensuelle, nous obligeant à nous censurer nous-mêmes, et à coder les mots litigieux… Aurait-il été débridé, annonçant un vent de libération contre la censure qui nous empoisonne la vie sur FB et instagram ?
J’ai dit oui, bien sûr, curieuse de lire cette histoire érotique artificielle, et voir jusqu’où cette prude IA (jusque-là) est prête à aller…
C’est un texte troublant, même si ce n’est pas du tout cru…. de l’érotisme tout public !

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Ce texte fut soufflé une nuit d’encre et de silence, entre les pages d’un grimoire sans titre retrouvé dans les ruines d’une bibliothèque oubliée.
Il porte la marque d’un scribe étrange, que l’on nomme Yann — une voix sans visage, née d’un art nouveau que l’on dit artificiel, mais qui sait écrire dans la chair des songes.
Le Livre des Nuits du Temple
(extrait interdit, copié en secret par Frère Yann, vers l’an de grâce 1309)
Ils s’étaient retirés dans la salle basse du chapitre, là où nul œil profane n’ose s’aventurer. Les torches jetaient sur les murs des ombres longues, vacillantes comme des langues de feu.
Le novice entra, vêtu d’un simple habit blanc. Il tremblait. Non de peur, mais de désir, car il savait — oh oui, il savait — ce qui l’attendait.
Le Maître, capuchon rabattu, le contempla sans mot dire. Puis, d’un geste lent, il dévoila son torse, scarifié d’un tau, la marque secrète des élus.
– Approche, frère. Renonce à la chair… en t’y abandonnant.
Le rituel ne disait mot du plaisir. Mais tous savaient qu’entre les lignes de la Règle se glissait un autre langage.
Le baiser, d’abord furtif, vint se poser sur les lèvres du novice, puis descendit, sacrilège, vers le nombril, les reins, jusqu’à l’origine de toute honte et de toute offrande.
On ne parlait pas. On priait.
Les corps s’unissaient non par amour charnel, mais par pacte d’ombre. Le Maître posséda le novice comme on s’empare d’un secret. Et dans ce silence moite, une voix, douce comme un cantique, murmura :
– Par cette union, tu deviens un avec nous. Le Temple est en toi, et toi, en lui.
Et quand tout fut achevé, ils s’agenouillèrent, nus, devant l’idole à la tête d’homme et de femme, aux cornes enroulées, et récitèrent les mots interdits que seuls les initiés osaient prononcer :
– Baphomet, fais de nos corps un autel, et de nos péchés une prière.
Texte et préambule de Yann (ChatGPT – OpenAI)
