Julia Palombe vient d’ouvrir son Boudoir quantique, destiné à des accompagnements en thérapie quantique. Elle organisait samedi dernier son premier cercle quantique, et j’ai eu la chance d’y participer, en compagnie de plusieurs autres femmes, et d’un homme.
Julia nous accueille dans un studio de yoga lumineux, au coeur du quartier de Montmartre. Nous nous asseyons en cercle sur des couvertures blanches. Des pétales de roses sont parsemées un peu partout, je me sens tout de suite bien !
La médecine quantique
Julia Palombe a découvert la médecine quantique alors que la médecine traditionnelle la menaçait de traitements lourds. Elle a tenté l’expérience, et cette médecine alternative l’a si bien guérie, qu’elle a décidé de se former, et de partager cette médecine thérapeutique avec d’autres. Elle a passé avec succès son examen, elle est aujourd’hui certifiée en thérapie quantique.
La médecine quantique propose de « dresser nos cellules », de communiquer avec elles, afin de nous soigner ! Il s’agit de plonger en soi, grâce à des techniques de méditation et de synchronisation (dite technique des deux points), un plongeon à la source de l’énergie : la conscience primordiale – ou pour ceux et celles qui préfèrent : l’âme, l’intelligence silencieuse.
Dans cet état de conscience modifié par la méditation, on prend conscience de l’origine du problème et on dépose au fond de soi une intention, une phrase qui reflète ce que l’on souhaite, notre objectif.
« L’intention donne à la conscience pure une direction. Elle informe ce qui n’a pas de forme, de celle que nous voulons qu’elle prenne… L’intention quantique ressemble plus à une invitation faite à la conscience pure d’honorer notre corps/psyché de sa présence » (Dr Kinslow).
On recherche « le saut quantique », le changement d’état, afin de guérir de souffrances physiques ou psychologiques, les unes engendrant souvent les autres. Pour cela, il faut vraiment réussir à lâcher prise, faire confiance, « donner les clefs » à la conscience primordiale. Alors on ressentira un ravissement, une jouissance, signe que l’on a réussi (l’un des participants l’a ressenti, dès sa première fois !)
Ce travail d’immersion en soi-même est à réitérer tous les jours pendant 21 jours.
Cette présentation nous enthousiasme, même si mon esprit cartésien reste un peu sceptique. Je suis séduite par ce raisonnement digne de la science-fiction que j’aime tant ! Je ne suis pas sûre de tout bien comprendre, mais je me promets de jouer le jeu de mon mieux.
Car après la théorie, Julia nous met en condition, et nous prépare à ce voyage intérieur.
Tout commence par des exercices de respiration (une première pour moi ! Pas si facile, surtout les exercices d’apnée, de synchronisation avec son ventre). Julia nous invite ensuite à fermer les yeux et nous laisser guider par sa voix. Julia est une formidable conteuse : aussitôt, des images, des films, se forment dans mes pensées, au fil de ses évocations. Elle nous invite à quitter notre corps, et voyager jusqu’aux confins de notre galaxie, jusqu’au vide, jusqu’au silence. Consciente au début, je vis bientôt un rêve éveillée, bercée et inspirée par sa voix douce, qui me transporte dans un état second, un état de transe agréable. Je n’avais jamais fait de méditation de ma vie, mais cela m’a un peu rappelé les sensations de l’hypnose, testée lors d’une séance Art Q.
Nous rouvrons les yeux et prenons nos cahiers pour lister nos inconforts : maux physiques grands ou petits, souffrances psychologiques, et écrivons en face de chacun ce que nous souhaitons, de façon précise, positive, au présent (les trois P). Des correspondances se révèlent, certaines souhaits coïncident, appartiennent à la même famille. Finalement, ma liste d’une dizaine d’inconforts (et oui, la vie est rude ^^), peut être regroupée derrière trois intentions.
Nous nous allongeons et fermons les yeux. Julia nous emmène sur une plage ensoleillée au bord de l’océan. Je retrouve bientôt cet état de rêve éveillé si agréable, cette sensation juste avant de s’endormir, quand la conscience lutte encore, mais que l’inconscient nous envoie déjà des images. Je contemple l’océan, le mouvement des vagues, je ressens la lumière, j’entends le bruit du ressac, du vent…Entre deux vagues, Julia nous invite à plonger et déposer notre intention tout au fond. J’en avais choisi une, mais finalement, une autre s’est imposée toute seule au dernier moment.
C’est le moment de partager nos impressions. Un moment intime, nous sommes à deux doigts de nous confier les unes aux autres. Un reste de pudeur nous retient, des scrupules aussi, on ne veut pas monopoliser la parole. Peut-être aussi le fait de ne pas être qu’entre femmes… On pourra reprendre rendez-vous avec Julia en one to one pour approfondir !
Julia utilise des techniques pour libérer notre parole et nous aider à y voir plus clair : le pendule, les cartes… Elle explique qu’elle ne les utilise pas forcément en séance, seulement si elle sent que c’est utile, car le pendule, les cartes, peuvent débloquer des mots, résonner, apporter un éclairage…
J’ai pu expérimenter les réponses du pendule, ma voisine les cartes, et effectivement, des portes insoupçonnées se sont ouvertes !
Nous terminons notre rencontre en dansant, pour faire circuler l’énergie », explique Julia, qui fait le pont avec sa carrière de danseuse/chanteuse/actrice. Une danse libre, sur une belle musique composée par Serge Leonardi son partenaire à la ville comme à la scène.
Je ressens un peu de mal à me séparer des participants à l’issue de ce cercle, quelque chose s’est noué entre nous, nous sommes liés, d’une façon ou d’une autre. Julia nous prend chacun et chacune en photo avec un appareil polaroïd, clic, et nous remet la photo, un rappel de notre intention, à coller sur notre cahier !
J’ai beaucoup aimé ce moment, en particulier les rêves éveillée inspirés par Julia ! Et je ne la remercierai jamais assez de m’avoir aidée à poser des mots, à rédiger une phrase, sur des ressentis qui tourbillonnaient en moi sans répit. L’écrire noir sur blanc, mettre le doigt précisément dessus, là où ça fait mal, et paradoxalement ça va déjà mieux. Il me reste à l’ancrer en moi, en réalisant le défi proposé par Julia : pendant 21 jours, renouveler seule cette immersion dans mon océan intérieur, pour enfouir mon intention tout au fond. Ce sera sûrement moins bien qu’avec Julia, mais je suis très motivée !
Prochaine session
Un nouveau cercle quantique s’organise samedi 24 janvier de 14h à 16h à Paris 18e
infos: julia@leboudoirquantique.com
Le boudoir quantique sur Instagram
Un dernier conseil : pour goûter pleinement l’expérience, il faut mettre de côté son esprit cartésien, et se laisser aller à la magie de cette médecine introspective. On dit souvent que certaines maladies ou souffrances sont dues au stress, à l’anxiété : pourquoi notre cerveau, qui cause ces dégâts, ne pourrait-il pas aussi les réparer ? Je pense que l’on est loin d’avoir découvert toutes les possibilités de nos cerveaux, de nos cellules, et de notre corps tout entier !
