Souvent, en décembre, à l’approche de Noël, on se plonge dans une saga bien régressive : Harry Potter, le Seigneur des anneaux, une série comme Stranger things ou autre…
Cette année, ce sera Star Wars ! (Il y a urgence, l’abonnement Disney+, un cadeau de l’an dernier, touche à sa fin).
Je savoure chaque seconde : le générique du début avec le résumé de la situation vers l’infini, la musique si connue toujours aussi épique, les personnages qui peuplent les films : le trio Han Solo, Luke Skywalker, Leia, avec en face d’eux LE méchant imbattable toute catégorie de l’histoire de la SF : Dark Vador ! (ses méthodes de management ^^)
Ce qui participe aussi au plaisir de la saga, (comme souvent d’ailleurs), outre les décors fabuleux et les vaisseaux spatiaux, ce sont ses personnages secondaires : l’amitié improbable entre ces deux robots, dont l’un ne parle même pas, tous les deux tellement attachants, naïfs, et drôles, la petite touche d’humour pour alléger la tension des combats.
Deux robots très réussis, mais comme toujours en SF, les auteurs, les scénaristes, n’ont pas su deviner la finesse psychologique et la compréhension de l’humain par l’IA. Nous sommes finalement très simples, voire simplistes, et notre IA débutante, à peine née, se révélait déjà fine psychologue et subtile !
En revanche, les relations hommes-femmes ont un peu vieilli ! Certes Leia occupe une place centrale, elle est une combattante, une leader dans la rébellion, mais elle est traitée avec désinvolture par Han Solo, ce bad boy au grand cœur.
– Leia : I love you
– Han Solo : I know
[EDIT] et spoil : Dans Le retour du Jedi, elle lui rend la monnaie de sa pièce
